Performance " masque de panser " , 2019 Fait à l’UJM, Saint-Etienne

Dans Masque de panser, je porte un masque de plâtre blanc sur la tête, une pierre blanche dans la main devant une centaine de mes gravures. En frappant le masque avec la pierre, je l’ouvre ; c’est le geste métaphorique d’une libération intérieure. Le masque joue le rôle d’une seconde boîte crânienne, une enveloppe qui enferme et protège à la fois. Sa destruction fait jaillir des fragments, traces visibles de pensées auparavant intangibles. La performance traduit ainsi le passage de l’esprit à la matière, de l’invisible au visible.

Une personne porte un masque blanc en papier, debout devant un mur décoré de plusieurs pages de papier déchirées affichées en motif.
Une femme portant un masque blanc et une robe noire se tient devant un mur décoré avec des pages de livres accrochées. Des morceaux de céramique ou de porcelaine brisée sont au sol devant elle.
Une personne avec un masque de protection en train de poser devant un mur recouvert de pages déchirées et rangées en motif artistique.
Personne portant un masque blanc en papier ou en plâtre, debout devant un mur décoré avec des feuilles ou des pages de papier suspendues.

Extrait de la performance “Masque de Panser”, 2019

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