Formes

À travers ses fluides, ses empreintes et ses restes, le corps produit des formes qui dépassent son échelle. Une trace de sang, une cellule, une vibration deviennent paysage ou cosmos. Ces formes questionnent ce qui subsiste de nous une fois dépouillés de notre apparence : l’empreinte comme mémoire, la matière comme prolongement de l’être. Ici, l’intime s’ouvre sur une dimension universelle où chaque fragment peut devenir monde.