Empreintes sur draps, 2019
Dans Empreintes sur draps, je dépose des organes recouverts de sang et d’encre sur des tissus, créant des empreintes brutes. Ces marques ne sont pas figuratives : elles rappellent les tests de Rorschach, laissant place à l’interprétation du spectateur. Ce geste rend visible l’existence de l’organe, sa mémoire organique, tout en mêlant mon propre geste à celui du corps animal. L’empreinte devient une image universelle, car chaque être est capable de la produire.